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"N'était-ce pas chose curieuse , et toute particulière au sable - qu'il s'agît de la plage d'Enoshima ou du Désert de Gobi-, que la grosseur du grain restât pour ainsi dire sans variation : en fait, un huitième de millimètre environ, suivant une courbe proche de la courbe de répartition établie par Gauss."
"C'est ainsi que, pour s'être appliqué à dessiner en son âme l'image du Sable-qui-s'écoule, l'homme, parfois, avait comme senti s'écouler le plus profond de son être, devenu la proie de l'Illusion."
P 24 et P 27, "La Femme des sables", Abé Kôbô, Livre de Poche
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