Leur coup monté : un pseudo-reportage sur la précarité étudiante.
Dans le registre :
« Pour pouvoir étudier le jour, je me sers de mon cul la nuit... De temps en temps je reviens à l’appart’ entre midi et deux pour dormir. C’est dingue d’en être arrivée là. Heureusement j’arrive encore à le cacher. » Emma, 23 ans, Master de Philosophie
Match a publié, sans la plus élémentaire vérification.
Quel délice de constater que face à la déliquescence du journalisme "managé" par en haut, par les lois de l'industrie et du marketing, lecteurs et usagers engagent de salutaires réflexes de défense et de mise en cause !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire