Toujours amusant de constater par où va finir de bruisser la houle de ses écrits.
Voici quelques années, avant que les archives du journal ne soient en ligne, j'avais commis une série d'été pour le Figaro, en reprenant les Souvenir Entomologiques de Jean-Henri Fabre. Découvrant que sa maison était presque en ruine, sous le soleil du Ventoux, je m'étais dit que ce travail de poête obstiné méritait de revenir dans une plus large lumière. J'ai donc commis l'irrévence d'une sorte de "sélection" pour le lecteur, une reprise sauce "moderne". Hou, ferez vous. Excuses, ce n'était qu'un prétexte pour faire parler de l'instituteur tombé fou des insectes. Un exercice de style, aussi. Bien forcé.
En cherchant avec papillon et mon nom, histoire de comprendre comment butine le référencement dans ce monde des ombres électroniques, voici que je retombe dans ses traces, bien entendu.
Merci encore, Fabre.
http://www.rutelide-dundee.com/Marc4F.htm
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